#Politics
Target:
A monsieur le Secrétaire général de l’ONU
Region:
Algeria

- Cette pétition est en trois langues : français, arabe, anglais
- This petition in also in English (after the arabic version)
هذه العريضة أيضًا باللغة العربية (بعد النسخة الإنجليزية).-

Les attaques israéliennes contre le peuple palestinien ont fait plus de 200 morts en quelques jours dont de nombreux enfants. Des dizaines de bâtiments et de maisons ont été détruits. Près de 200 avions de guerre ont été utilisés par Israël pour bombarder Gaza: chaque missile qui s'est abattu sur Gaza est un crime de guerre. Les peuples ont pris leur responsabilité en se positionnant pour la Palestine. Nous interpellons l'ONU qui doit trouver une solution.

A monsieur le Secrétaire général de l’ONU
Il faut une solution urgente pour la Palestine

135 pays ont reconnu l'Etat palestinien mais ni les droits de cet Etat, ni ceux de son peuple ne sont respectés. Le peuple palestinien souffre. Ses droits, y compris les plus élémentaires, sont impunément violés et bafoués de façon systématique et méthodique. En violation de toutes les conventions internationales, le peuple palestinien, dans ses différentes composantes, subit, de manière permanente, l'injustice et la violence dans un mépris flagrant de son droit naturel et légitime à la protection internationale, jusqu'aux enfants qui sont tués, emprisonnés voire torturés.
Les récentes violences perpétrées contre les Palestiniens interpellent les consciences et exige de l’ONU d’appliquer les résolutions qu’elle a adoptées pour la protection du peuple palestinien : la consécration des droits légitimes qui lui sont reconnus et son affranchissement de la politique d'apartheid de sinistre mémoire.
La bande de Gaza vit un blocus inhumain, dégradant et invivable depuis des décennies. Un mur de la honte a été érigé, parquant des humains de part et d’autre, créant ainsi un apartheid de facto. Depuis plus de 50 ans, nous assistons, impuissants, à un phénomène colonial qui évoque les périodes les plus sombres de l’histoire humaine, avec des crimes à ciel ouvert. Les attaques et les bombardements de Gaza, en Cisjordanie et ailleurs, s’apparentent à des crimes contre l’humanité. En outre, on recense aujourd’hui des millions de Palestiniens obligés de vivre en dehors de leur pays. Le peuple palestinien est menacé de génocide, un génocide lent qui frappe quotidiennement avec des balles, des missiles, l’emprisonnement, la destruction, l’incendie et l’arrachage des récoltes, la démolition punitive de milliers de maisons ainsi que l’expropriation illégale, la destruction massive et ciblée de plusieurs dizaines d’établissements scolaires et de santé, l’empoisonnement de l’eau… Une politique de la terre brûlée que l'humanité a connue dans les moments les plus sombres de son histoire, est en cours sous nos yeux, au quotidien.
Depuis 1967, l’État hébreu se livre à une annexion de facto, rampante, des territoires conquis par la force. Les terres palestiniennes sont parcellisées par plus de 150 colonies en Cisjordanie et plus de 35 sur le plateau du Golan syrien. Plusieurs de ces implantations ont été officiellement rattachées au territoire israélien lors de la construction de la barrière de séparation, le mur de la honte. Aujourd’hui, Israël promet une annexion de jure et lance ses extrémistes soutenus par l’armée à l’assaut des terres palestiniennes visées par l’annexion, y compris à El-Qods comme le montrent les attaques du mois de ramadhan.
Créé lui-même sur la base de la violation du droit international, il ne cesse de bafouer les droits des Palestiniens via une véritable stratégie hégémonique du fait accompli. Ses crimes mettent en danger l’intégrité même du peuple palestinien, menacé de disparition ou de devenir un peuple sans terre. Aujourd’hui déjà, la chance de créer un État palestinien s’éloigne de plus en plus. Comment donc arriver à l’idée, pourtant acceptée par l’Autorité palestinienne, de deux Etats, palestinien et israélien, vivant côte à côte ?
Habitué à créer des précédents d’annexion, puis à augmenter le périmètre par grignotages successifs et d’expropriations accompagnées de violences et d’injustices de toutes sortes, Israël est le seul État au monde qui affiche un mépris à l’endroit des résolutions onusiennes prises à son encontre. L’impunité lui donne la latitude d’être le seul pays qui poursuit juridiquement environ 700 enfants chaque année devant des tribunaux militaires sans leur offrir le droit fondamental à un procès équitable. Trois enfants palestiniens sur quatre subissent une forme de violence physique de la part de soldats ou de policiers israéliens après leur arrestation, comme en attestent des centaines de vidéos et de photos diffusés sur les réseaux sociaux. Israël est le seul pays au monde qui viole avec autant d’insouciance toutes les lois interdisant les traitements cruels, inhumains et dégradants envers les mineurs, et permet l’exception de les juger et emprisonner dans des cours militaires.
En 2020, Israël a arrêté plus de 400 enfants palestiniens, dont 170 sont encore détenus dans ses geôles, selon le Club des prisonniers palestiniens. Certains de ces mineurs placés dans des cellules individuelles et privés de visites familiales. En 2015, Israël a approuvé des lois allant jusqu'à l'autorisation de la réclusion à perpétuité contre certains enfants détenus. Israël a arrêté environ 7 000 enfants depuis 2015.
Actuellement, il y a près de 4500 prisonniers politiques palestiniens dans les prisons israéliennes dont 40 femmes, 170 enfants et 370 détenus administratifs (emprisonnés sans procès). Les enquêtes de la Cour pénale internationale n’ont abouti qu’à quelques condamnations de soldats de bas rang, ces dernières années. La décision du Tribunal Pénal Internationale (TPI) de juger des responsables israéliens pour leurs crimes ne doit pas rester une promesse sur papier, quant à elle. L’ONU est le seul espoir des Palestiniens : il y a urgence car un peuple est menacé d’extermination au vu et au su de tout le monde.
Veuillez agréer, monsieur le Secrétaire général, l’expression de notre profond respect.

ENGLISH
To the UN Secretary General
Urgent solution is needed for Palestine

135 countries have recognized the Palestinian state but neither the rights of this state nor those of its people are respected. The Palestinian people are suffering. Its rights, including the most basic, are violated with impunity and flouted in a systematic and methodical manner. In violation of all international conventions, the Palestinian people, in their various components, suffer, on a permanent basis, injustice and violence in flagrant disregard of their natural and legitimate right to international protection, even to the children who are killed, imprisoned and even tortured.
The recent violence perpetrated against the Palestinians challenges the conscience and requires the UN to apply the resolutions it adopted for the protection of the Palestinian people: the consecration of the legitimate rights which are recognized and its liberation from the politics of apartheid of grim memory.
The Gaza Strip has been experiencing an inhuman, degrading and unlivable blockade for decades. A wall of shame has been erected, herding humans on both sides, creating a de facto apartheid. For more than 50 years, we have witnessed helplessly a colonial phenomenon that evokes the darkest periods in human history, with open-air crimes. The attacks and bombings in Gaza, the West Bank and elsewhere are nothing but crimes against humanity. In addition, there are now millions of Palestinians who are forced to live outside their country. The Palestinian people are threatened with genocide, a slow genocide that strikes daily with bullets, missiles, imprisonment, destruction, burning and uprooting of crops, punitive demolition of thousands of houses as well as illegal expropriation, massive and targeted destruction of dozens of educational and health establishments, poisoning of water… A scorched earth policy that humanity has known in the darkest moments of its history, is underway is taking place before our eyes, every day.
Since 1967, the Hebrew state has engaged in a de facto, creeping annexation of territories conquered by force. Palestinian lands are fragmented by more than 150 settlements in the West Bank and more than 35 in the Syrian Golan Heights. Several of these settlements were officially reunited with Israeli territory during the construction of the separation barrier, the Wall of Shame. Today, Israel promises a de jure annexation and launches its army-backed extremists to assault annexed Palestinian lands, including al-Quds as evidenced by the attacks in Ramadhan.
Created itself on the basis of the violation of international law, it continues to flout the rights of the Palestinians via a real hegemonic strategy of fait accompli. Its crimes endanger the very integrity of the Palestinian people, threatened to disappearance or of becoming a landless people. Isn’t, today, the chance to create the promised Palestinian state fading further and further away? How then to arrive at the idea, however accepted by the Palestinian Authority, of two States, Palestinian and Israeli, living side by side?
Used to creating precedents for annexation, then increasing the perimeter by successive nibbling and expropriation accompanied by violence and injustice of all kinds, Israel is the only state in the world that displays contempt for UN resolutions taken against him. Impunity gives it the latitude to be the only country that legally prosecutes around 700 children each year in military courts without offering them the fundamental right to a fair trial. Three in four Palestinian children experience some form of physical violence from Israeli soldiers or police after their arrest, as evidenced by hundreds of videos and photos posted on social media. Israel is the only country in the world that so recklessly violates all laws prohibiting cruel, inhuman and degrading treatment of minors, and allows the exception to be tried and imprisoned in military courts.
In 2020, Israel arrested more than 400 Palestinian children, 170 of whom are still being held in its jails, according to the Palestinian Prisoners Club. Some of these minors are placed in individual cells and deprived of family visits. In 2015, Israel approved laws that went as far as allowing life imprisonment for some detained children. Israel has arrested around 7,000 children since 2015.
Currently, there are nearly 4,500 Palestinian political prisoners in Israeli prisons including 40 women, 170 children and 370 administrative detainees (imprisoned without trial). Investigations by the International Criminal Court have resulted in only a few convictions of low-ranking soldiers in recent years. The decision of the International Criminal Tribunal (ICT) to try Israeli officials for their crimes should not remain a promise on paper, however. The United Nations is the only hope of the Palestinians: there is an emergency because a people is threatened with extermination in full view of everyone.
Please accept, Mr. Secretary-General, the expression of our deep respect.

ARABIC

إلى السيد الأمين العام للأمم المتحدة
لحل عاجل للقضية الفلسطينية

لقد اعترفت 135 دولة بالدولة الفلسطينية لكن هذه الدولة ليس لها حقوق ولا حقوق لشعبها المضطهد. إن الشعب الفلسطيني بمختلف مكوناته يعاني بشكل دائم من الظلم والعنف مع تجاهل صارخ لحقه الطبيعي والمشروع في الحماية الدولية. حقوقه مُنتهكة بطريقة منهجية و حتى الأطفال يقتلون ويسجنون و يعذبون.
إن التصاعد الأخير ضد الفلسطينيين يتطلب من الأمم المتحدة بالتدخل الفوري للحد من معاناته و تكريس حقوقه المشروعة المعترف بها، وتحريره من سياسة التقتيل و نهب املاكه الشرعية و من سياسة الفصل العنصري الشرير.

ويعاني قطاع غزة منذ عقود من خلال حصار لا إنساني ومهين وغير قابل للعيش. يجب كذلك تدمير جدار العار، الذي وضع شعباً كاملاً في سجن و خلق فصلًا عنصريًا فعليًا. منذ أكثر من 50 عامًا، العالم يشاهد ظاهرة استعمارية تستحضر أحلك الفترات في تاريخ البشرية. العنف الإسرائيلي و الإسيلاء الدائم على الأراضي الفلسطينية اجبرت الملايين من هذا الشعب المضطهد للعيش في الهجرة. إن الشعب الفلسطيني مهدد بالإبادة الجماعية، وهي إبادة جماعية بطيئة تضرب يوميا بالرصاص والصواريخ والسجن والتدمير والحرق واقتلاع المحاصيل و الأشجار، وهدم آلاف المنازل عقابيا و مصادرة غير شرعية وتدمير واسع النطاق وموجّه لعشرات المرافق التعليمية و الصحية، تسمم المياه... سياسة الأرض المحروقة التي عرفتها البشرية في أحلك أوقات تاريخها، جارية أمام أعيننا، بشكل يومي.

منذ عام 1967، قامت الدولة العبرية بضم زاحف بحكم الأمر الواقع للأراضي التي تم احتلالها بالقوة. تقسم الأراضي الفلسطينية إلى أكثر من 150 مستوطنة في الضفة الغربية وأكثر من 35 مستوطنة في مرتفعات الجولان السورية. اليوم، تطلق إسرائيل متطرفين مدعومين من الجيش لمهاجمة الأراضي الفلسطينية التي تم ضمها، بما في ذلك القدس، كما يتضح من الهجمات التي حدثت خلال شهر رمضان.

بنيّت إسرائيل على أساس انتهاك القانون الدولي، وهي لا تتوقف منذ نشئها عن انتهاك حقوق الفلسطينيين. إن انتهاك القوانين الدولية يعرض سلامة الشعب الفلسطيني ذاته للخطر، لأن سياستها التوسعية تهدده بالزوال أو أن يصبح شعباً بلا أرض. اليوم، تتلاشى فرصة إنشاء دولة فلسطينية أكثر فأكثر.

اعتادت إسرائيل على خلق سوابق للضم، ثم زيادة المساحة عن طريق القضم والنزع المتتاليين المصحوبين بالعنف بجميع أنواعه. إسرائيل هي الدولة الوحيدة في العالم التي تستهزئ بقرارات الأمم المتحدة المتخذة ضدها، و الوحيدة التي تقاضي بشكل قانوني حوالي 700 طفل كل عام في المحاكم العسكرية دون أن تمنحهم الحق الأساسي في محاكمة عادلة. يتعرض ثلاثة من كل أربعة أطفال فلسطينيين لشكل من أشكال العنف الجسدي على أيدي الجنود أو الشرطة الإسرائيلية بعد اعتقالهم، كما يتضح من مئات مقاطع الفيديو والصور المنشورة على وسائل التواصل الاجتماعي. إسرائيل تدوس على جميع القوانين التي تحظر المعاملة القاسية واللاإنسانية والمهينة للقصر، وتسمح بالاستثناء للمحاكمة والسجن في المحاكم العسكرية.

في عام 2020، اعتقلت إسرائيل أكثر من 400 طفل فلسطيني، و لا يزال 170 منهم محتجزين في سجونها، بحسب نادي الأسير الفلسطيني. في عام 2015، وافقت إسرائيل على قوانين ذهبت إلى حد السماح بالسجن المؤبد لبعض الأطفال المحتجزين. اعتقلت إسرائيل حوالي 7000 طفل منذ عام 2015. يوجد حاليًا ما يقرب من 4500 أسير سياسي فلسطيني في السجون الإسرائيلية، بينهم 40 امرأة و 170 طفلًا و 370 معتقلًا إداريًا (مسجونون بدون محاكمة). أسفرت التحقيقات التي أجرتها المحكمة الجنائية الدولية عن إدانات قليلة فقط لجنود من رتب منخفضة في السنوات الأخيرة. ومع ذلك، لا ينبغي لقرار المحكمة الجنائية الدولية بمحاكمة المسؤولين الإسرائيليين على جرائمهم أن يظل حبراً على ورق. الأمم المتحدة هي الأمل الوحيد للفلسطينيين: هناك حالة طوارئ لأن شعبًا مهدد بالإبادة على مرأى و معرفة الجميع.
أرجو أن تتقبلوا، سيدي الأمين العام، التعبير عن احترامنا العميق.

Signataires
Ighil Ahriz (Moudjahida, Alger)
Mohamed Bouhamidi (Professeur de philosophie, écrivain, secrétaire du Collectif Novembre pour le socialisme)
Ali El Hadj Tahar (écrivain, Alger)
Dirk Adriaensens (Member of the Brussells Tribunal executive committee, Geraardsbergen, Belgique)
Dominique Daigneault (Présidente du Conseil Central Métropolitain, Confédération des syndicats nationaux CSN, Montréal, Québec)
Radjef Saïd (Chef d'entreprise, Draa El Mizan, Tizi Ouzou),
Ali Ben Dris (écrivain)
Hamid Ould Hocine (architecte, Alger)
Zenadi Samia (éditrice APIC, Alger)
Ali Mebroukine (professeur à l'ENA d'Alger)
Belhadjoudja Nacer (journaliste, Le Soir d’Algérie)
Hacini Ouarda (professeur universitaire à la retraite, Alger)
Abraham Weizfeld (PhD for the Jewish Socialist Bund)
Ahmed Khayam Benkamla (cinéaste, Alger)
Amel Hadj Hamou (architecte, Alger)
Abdeltif Rebah (économiste, Alger)
Rachid Malik (journaliste, Alger)
Mustapha Chelfi (journaliste, Canada)
Sahmoune Djamel
Hafid Boualem (auteur, Oran)
Abdelhalim Kebieche (artiste plasticien, Alger
Chérif Benabid (Magistère en Électronique. Manager, Sétif)
Hakim Benamar (Professeur en retraite)
Mustaphal Kaouah (journaliste, France)
Harhar Hamid (cinéaste, Alger)
Nourredine Khelifa (journaliste, Alger)
Nacira Mecheri (secteur de la santé, Canada)
Djanet Zahia Hebrih (artiste plasticienne, Annaba)
Karim Sergoua (artiste plasticien, Alger)
Nadia Sebkhi (éditrice, écrivaine, Alger)
Bourahla Rebiha (ingénieur d’état, expert en agronomie, Bordj bou Arreridj)
Ahmed Kaci (journaliste, France)
Otmame Mersali (artiste plasticien, France)
Djawad Rostom Touati (écrivain, Alger)
Mouloud Ait (acteur, Alger)
Karima Ferhat (ingénieur agronome, Alger)
Majid Touhami (architecte Urbaniste, Paris 12eme)
Mourad Termoul (journaliste)
Hanane Trinel Ourtilani (journaliste, France)
Kamel Jubran (enseignant université, Alger)
Atika Boutaleb (conseillère en communication, Alger/USA)
Souad Snedj (Entrepreneur, Alger)
Zine El Abidine Benbadis (journaliste Radio chaine 3, retraité, Alger)
Khaoua Nadji (professeur des Universités, Annaba)
Louisa Malika Touazi (journaliste, Alger)
Zohra Mahi (avocat au Barreau de Paris, Paris)
Hacene Arab (universitaire, journaliste, Alger)
Mahdia Benbella (sciences politique, Alger)
Kamal Abdoun (médecin, Alger)
Leila Boukli (presse audiovisuelle et écrite, Alger)
Mehdi Messaoudi (journaliste, Oran)
Siham Latreche (ingénieur d’Etat Alger)
Bendali Nachida (professeur d'enseignement moyen en retraite, Alger)
Amine Daoui (commercial, Alger)
Khaled Oudak (étudiant en droit, Alger)
Houria Dehim (professeur d’enseignement secondaire, retraitée, Alger)
Boudjelal Benhorma (retraité, Alger)
Linda Breux Benouniche (architecte, Saint-Mandé, France)
Yasmine Bouhamidi (enseignant-chercheure, Université d’Alger)
Nabila Chaib (enseignante-chercheure, Université de Montréal)
Ameur Hadji Fatma-Zohra (retraitée, Tarn, France),
Hadji Mustapha (retraité, Tarn, France)
Hadji Tinhinane (monitrice éducatrice, Tarn, France)
Tabti Mériem (professeur, Paris)
Ludmilla Ameur (analyste politique, Montréal)
Anine Mohamed (architecte, Alger)
Anine Ghania (ingénieur chimiste, Alger)
Otmani Mohamed (opticien, Moscou)
Hadji Abdelmadjid (conseiller du sport, Boufarik)
Mahassine Foudala (enseignante d'histoire géographie à la retraite, Alger)
Yacine Abdelmalik Foudala (ingénieur, Alger)
Mohamed Kemoune (opticien, Alger)
Yasmine Foudala (vétérinaire, Alger)
Samy Bencheikh (journaliste, Alger)
Djaroud Djilali Farouk (chef d'entreprise, Oran)
Djahnit Ahmed (ingénieur chef d'entreprise, Bordj Bou Arreridj)
Bendjazia Chafika (juriste, Alger)
Safia Mesbah (chirurgienne dentiste, retraitée, Alger)
Adel Kaleche (ingénieur, Toulouse)
Amel Djilani (architecte, artiste-peintre, Alger)
Jean Bricmont (Physicien, enseignant en retraite, écrivain, Bruxelles)
Snedj Abdelkader (Professeur, Blida)
Mourad Bendada (agriculteur, président Addem, Oum El Bouaghi)
Alpert Bob (retraité, USA)
Touabet Djamila (PDG Handitour, Sétif),
Zerrouki Feriel (Directrice ITMAS Alger),
Sabri Mohamed (subdivisionnaire DSA, Sfizef, Sidi Bel Abbes)
Bouchenafa Mohamed (fonctionnaire Naftal, Alger)
Hadj Sadok Faycal (chef d’entreprise, Alger)
Chérif Farida (enseignante, Tiaret)
Fadila Bouattoura (cadre retraitée, Alger)
Souhad Bencherif (traductrice, Paris)
Aïcha Salima Boulekfouf (France)
Rachid Lounici (médecin ORL, Alger)
Zineb A. Maiche (journaliste, Bordeaux)
Aicha Ameur (Radio Chaine 3, Alger)
Karim Belkacemi (réalisateur, chaine 3, Alger)
Nacer Bedjou (réalisateur, radio algérienne, Alger)
Belkacemi Nadia (pharmacienne, poétesse, Annaba)
Boughazi Naouelle (magistrat, Alger)
Victor Hugo Jijon (ingénieur, Quito, Équateur)
Mohamed Karim Bouras (artiste, Bachdjarah)
Nadia Ammari (chef d’entreprise, Paris)
Nadjet Mihoubi (médecin Biologiste, Paris
Amine Mihoubi (médecin biologiste, Paris)
Farid Longo (juriste, conseiller en emploi, Laval, Québec)
Claude Morin (historien de l’Amérique Latine, Université de Montréal, Québec)
André Jacob (professeur, écrivain, Université du Québec, Montréal, Québec)
Ovide Bastien (professeur d’économie, Collège Dawson, Montréal, Québec)
Micheline Labelle (professeure en sociologie, retraitée, Université de Montréal, Québec)
Réjean Mathieu (professeur, École de travail social, Université du Québec à Montréal, Québec)
Arnold Auguste (journaliste, auteur, Montréal, Québec)
Jorge L. Guerra (chargé de projets, Montréal, Québec)
Jean Yves Bernard (animateur de radio, St Joaquim, Québec)
Lorette Langlais (Montréal, Québec)
Rox Pahu (Montréal, Québec)
Mohamed Mezghiche (enseignant universitaire, Boumerdès)
Djamel Belkacemi (enseignant universitaire, Boumerdès)
Ahmed Aït Bouziad (enseignant universitaire, Boumerdès)
Amine Riad Maouche (enseignant universitaire, Boumerdès.
Abderrahmane Benbrik (enseignant universitaire, Boumerdès)
Moussa Saadaoui (enseignant universitaire, Boumerdès)
Lotfi Zerarga (enseignant universitaire, Boumerdès)
Fateh Amghar (enseignant universitaire, Boumerdès)
Hicham Benhamida (enseignant universitaire, Boumerdès)
Leila Aliouane (enseignante universitaire, Boumerdès)
Karim Amir (enseignant universitaire, Boumerdès)
Nourredine Bentahar (enseignant universitaire, Boumerdès
Fatma Acheuk (enseignante universitaire, Boumerdès)
Djamel Benazzouz (enseignant universitaire, Boumerdès)
Abdenour Boutine (cadre institution publique, Alger)
Zoheir Bechar (notaire, Alger)
Hacène Djendel (gérant d’entreprise, Algérie)
Djamel Kabène (fonctionnaire, Algérie)
Souad (Vice-recteur université)
Faiza Djendel (cadre retraitée)
Abdellah Kadouri (enseignant universitaire, Algérie)
Abdellah Mesbah (enseignant universitaire, Algérie)
Dhiai Eddine Salhi (enseignant universitaire, Algérie)
Djamel Gaceb (enseignant universitaire, Algérie)
Mohamed Laidouci (chirurgien, Alger)
Amina Djilani (directrice d'hôtel, Alger)
Bachir Saha (réalisateur audio, Alger)
Dalila Bentahar (cadre supérieur, Alger)
Hilal Laidouci (Boumerdès)
Abla Laidouci (chef de service CNMA, Blida)
Nabila Laidouci (employé assurance, Blida)
Sihem Laidouci (cadre ONIL, Alger)
Amina Laidouci (biologiste, Boumerdès)
Ikram Laidouci (étudiante en communication, Boumerdès)
Abdellah Laidouci (retraité, Blida)
Hamoud Bourada (employé, Boumerdès)
Djamel Eddine Kherouf (retraité, Alger)
Nawal Kherouf (étudiante, Alger)
Ali Bensaidane (retraité, Alger)
Ghomari Nacéra (retraitée, Alger)
Djouhri Salim (Bouquiniste, Algérie)
Ameur Lisa (étudiante, Montréal)
Adder Slimane (cadre retraité d'entreprise publique, Alger)
Hocine Betatache (Enseignant à la retraite, Jijel)
Mohamed Boukechoura (retraité, Alger)
Hassib Nadjia (sans profession, Blida)
Merouane Khalili (commerçant, Oran)
Amrou Anes (Etudiant master management, Boufarik)
Snedj Mohamed (responsable commercial, Blida)
Bencheikh Mama (fonctionnaire, Oran)
Malek Med Amine (coordinateur d'éducation)
Hassib Nassreddine (cadre de la BAD en retraite, Alger)
Hassib Hadjer (fonctionnaire, Alger)
Hassib Mehdia (responsable des archive, wilaya Tipaza)
El Haouari Imad Eddine (responsable commercial, Ooreedo Telecom, Alger)
El Haouari Ayoub (déclarant en douanes, Alger)
Bensmail Daoud (enseignant, Miliana)
Rezkallah Mohamed (chef d'entreprise, Miliana)
Hassib Kheireddine (HSE Hydra, Alger)
Laala Boukhalfa (cadre retraité de l’agriculture, Mostaganem)
Lougdaih Mohamed (retraité, El-harrach)
Rayane Demdoum (étudiante médecine, résidente à Alger)
Bouteldja Abdelkader (retraité éducation, Tiaret)
Fouad Hammami (étudiant en informatique, Alger)
Rahim Saïs (7ème année médecine)
Abderrahmane Bessaih (commerçant, El Bayadh)
Amel Boulahia (5eme année Ecole normale supérieure, Alger)
Ariouet Soumeya (étudiante en commerce international, Alger)
Ariouet Hadjer (étudiante en sciences économiques, Alger)
Tahri Fatma Zohra (retraitée, Alger)
Guechgueche Amira (gérante Institut de beauté, Alger)
Tahri Salima (mère au foyer, Alger)
Hafidha kellache (commercial, Genève, Suisse)
Mohamed Amine Miliani (coiffeur, Annemasse, France)
Salima Kellache (secrétaire, Blida)
Bounaja Ilhem (secrétaire médicale, Toulouse)
Roxana Paniagua (professeur de sociologie, Collège de Maisonneuve, Montréal, Québec)
Aijaz Ahmad (Distinguished Professor, Department of Comparative Literature School of Humanities University of California, Irvine, EUA)
Hamida Zemmouri (Fondatrice et directrice d'école privée, Alger)
Yousfi Naila (chargée de mission dans la coopération internationale, Alger)
Yousfi Abdelkader (Conseiller technique dans l’industrie, Alger)
Anine Mohamed (architecte expert auprès des tribunaux, Boufarik)
Boudjllah Ghania (chimiste à la retraite, ex cadre du laboratoire de répression des fraudes, Alger)
Anine Rafika (financière spécialisée en audit, Alger)
Amour Amina (gérante de société de communication, Alger)
Lariche Moufida (statisticienne, Alger)
Bouhadi Chérifa (mère de famille, Tipaza)
Racim Boussa (étudiant en électronique, Nancy, France)
Assia Saf (étudiante en physique fondamentale, Alger)

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The Une solution urgente pour la Palestine petition to A monsieur le Secrétaire général de l’ONU was written by Ali EL HADJ TAHAR and is in the category Politics at GoPetition.

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